Les jeunes peuvent se créer de l’emploi et le PRDAIGL accompagne
Avec le PRDAIGL, les sans emploi n’ont pas à s’inquiéter. Prosper Ndayikengurukiye, président de la coopérative Tugwanye Ama ligala, en est témoin. « Nous les membres de l’association Tugwanye ama ligala n’avions pas d’emploi. Nous avons décidé d’unir nos forces à travers la création d’une coopérative. Quand le PRDAIGL est venu, nous l’avons approché avec notre seul capital, ‘la force et la volonté de travailler’. Ce dernier a promis de nous appuyer à travers l’agriculture », dit M. Ndayikengurukiye. Et, aujourd’hui, ça fait la deuxième année que cette coopérative travaille dans ce secteur d’agriculture. Déjà, les membres sont satisfaits du pas franchi, du changement de mode de vie et de leur développement. Ils n’ont plus peur de leur avenir. En effet, avec une superficie de 4 hectares, ils espèrent récolter entre 12 et 13 tonnes de maïs. Ils apprécient énormément la variété introduite par le PRDAIGL. En plus de cette culture, ils ont associé le soja et tous ont été admirablement productifs. Ils remarquent qu’ils pourront même créer de l’emploi pour les autres avec cette activité.
Même son de cloche chez les rapatriés appuyés par ce même Projet. La satisfaction grâce aux appuis du PRDAIGL se lit à leurs visages. Ces appuis leur permettent de sortir de la pauvreté aigue, affirme Cécile Nzeyimana du site des rapatriés de Maramvya, tout en regrettant le manque criant de terres cultivable et de bétail pour bien mener les activités agricoles.
